La famille formidable revient pour trois épisodes inédits ! Anny Duperey et Bernard Le Coq nous présent cette septième saison. Accrochez-vous à votre fauteuil, ça va secouer !
« Lors de la diffusion de la saison 6, certaines personnes s’étaient demandé ce qu’il nous était arrivé et pourquoi on avait autant fait les clowns, se souvient Anny Duperey. Il fallait l’admettre, on avait fait les clowns, mais c’est bien de faire les clowns de temps en temps, non ? Et quand on a discuté de cette nouvelle saison avec Joël Santoni, le réalisateur, on s’est dit qu’on voulait aller vers une certaine vérité. A l’age qu’on a maintenant, la soixantaine, il y a ce sujet qui devient évident : le départ des parents. On en parle alors à notre manière, façon « Famille formidable », c’est-à-dire que l’humour ne perd pas ses droits ! » Cette saison 7 s’ouvre sur le décès du père de Catherine, Nono (Gabriele Ferzetti). « C’était un chalenge de commence cette nouvelle saison avec un décès », affirme Bernard Le Coq. On se dit : « C’est la famille formidable, on va rigoler… Et on attaque sur une scène lourde en émotions. C’est assez gonflé ! » Mais si les séquences émotions s’enchaînent, les fous rires n’en sont pas moins intenses. Qu’en est t’il du couple de monsieur et madame Beaumont ? Toujours sur des montagnes russes ? Moins qu’à l’accoutumée, car avec tout ce que le couple doit gérer, il choisit de se serre les coudes plutôt que de se déchire. « On ne peut pas tout faire, explique Anny. Du coup, les problèmes du couple, sont un peu mis de coté, et ce sont les jeunes et leurs histoires d’amour qui prennent le relais, ainsi que Jacques et Richard. » Jacques et Richard (Philippe Khorsand), les deux amis d’enfance, forment le duo détonant de cette nouvelle saison. Ils deviennent un peu les Dupond et Dupont de ces aventures familiales, et comme aime à le rappeler Bernard, « le ridicule ne tuent pas , Philippe et moi, on n’en a pas peur ! ». Des séquences mémorables en perspective et une année bien remplie pour cette formidable famille. « Quand je vois la vie de Catherine, explique Annie, je me dis qu »elle est plus tonique que moi, car croyez-moi, avec Bernard, nous somme les acteurs les plus fatigable de la terre ! »